fin nuit —
Rêve épreuve en Afrique du Nord… Guillaume conduit. Comment peut-il tenir la voiture avec seulement un côté sur du stable, l’autre étant sur une pente de 60° ? C’est ça l’autre unique et indispensable pour que je puisse m’en sortir, pour qu’on puisse TOUS s’en sortir. C’est pas l’un ou l’autre qui doit avoir le dernier mot, c’est l’humain qui doit avoir le dernier mot. Et l’inhumain doit disparaître.
Car c’est la peur qui motive celui qui veut TOUT maîtriser pour s’en sortir. Sauf qu’il ne pense /veut que s’en sortir TOUT SEUL. Parce que le danger est trop grave pour s’occuper des autres. Stop.
Le danger le plus grave pour l’humanité, c’est l’inhumanité.
Le danger le plus grave pour l’humanité, ce n’est pas le danger, c’est l’inhumanité imposée à TOUS comme SEULE solution alors que c’est le SEUL problème.
L’inhumanité crée le problème. Exemples : catastrophes climatiques, hiérarchie, économie inégalitaire, argent, violence… Faux-Dieu… Et n’en démord pas, tellement l’inhumain est paniqué des effets de son propre pouvoir illégitime.
L’inhumanité veut que la solution ne vienne que d’UN SEUL, d’UNE décision… comme si c’était cohérent. C’est incohérent. L’humain n’existe qu’à 8 milliards. En dessous, il y a encore de l’inhumanité, donc la fin de l’humanité.
Seul l’autre est capable de me sortir du chaos.
Seuls les 8 milliards d’autres sont capables de sortir les humains du chaos de décivilisation de domination.
Même si « rationnellement » je pourrais dire que ce que fait l’autre est impossible, 8 milliards d’humains, et particulièrement 4 milliards de femmes et tous les bébés qui naissent (mais on les éduque à l’inhumanité TOUT de suite), le font depuis quelques milliers d’années : rester humain dans un océan de conneries de domination inhumaine = décivilisation de domination.
Ce n’est donc pas impossible.
Tirons la chasse, pour faire disparaître l’inhumanité. Vous avez le papier, votre bulletin de vote en 2022, pour vous essuyer.
10h57 —
Ce qu’on ne fait pas ne sera pas fait.
Pour monter un escalier, pour marcher ou courir d’un point à un autre, pour réaliser ce qui de prime abord paraît impossible… chaque instant on fait ce qu’il faut faire. Et on n’écoute pas les voix qui nous disent de relâcher l’effort, ni celles des autres ni les miennes. Sinon, on n’y arrivera pas. « Petite chose, grande chose, même chose » comme dit la sagesse chinoise.
On a besoin de faire. Pas de faire faire.
On sait ce qu’il y a à faire. Si je ne pense pas à ça, c’est que pour moi ce n’est pas à faire. L’autre peut me dire en quoi c’est à faire et que si on ne le fait pas ensemble on n’y arrivera pas et/ou ce sera catastrophique. C’est ça l’interaction bienveillante.
Personne ne peut sentir et faire ce que j’ai à faire à ma place. La représentation, c’est le vol de l’humanité.
La supériorité n’existe pas en humanité. Seule l’égalité ensemble est humaine. La « Supériorité » est le déguisement de l’inhumanité pour expliquer son inconduite humaine. La « Supériorité » est l’heur à remettre à l’heure, de malheur à bonheur.
Pour l’anniversaire de Léon ? Une synthèse ? À enrichir /mettre à jour à chaque fête et anniversaire.
M. Taxi, le formateur au développement personnel, qui avait 70 ans il y a plusieurs dizaines d’années, parlait d’un bon outil /un bon exercice /un bon entraînement : chaque jour, faire au moins une chose nouvelle ou une chose habituelle de manière différente. Positive, humaine, bienveillante, bien sûr !
(11h16)
(Ajouté à 20h17) : ne pas s’arrêter « parce que c’est désagréable », « parce que c’est dur », sinon, on ne fait rien de sa vie. Et on a tellement à faire ce que l’on veut, pour lequel on est motivé parce que ça nous intéresse, parce qu’on ne connaît pas encore et qu’on a envie de connaître. Ne nous en privons pas, c’est le moteur qui nous fera passer les obstacles. Et nous fait vivre tout simplement : vivre c’est l’aventure de chaque instant. Car au réveil tout est impossible, mais si on y va, tout est faisable, même ce qui paraissait impossible. Et fichons-nous de ce qu’en pensent /disent les autres. Ils n’ont pas à nous empêcher de vivre notre vie humaine. Décivilisation de domination n’a plus la parole, même s’il la prend depuis des milliers d’années pour nous priver de nous-même et des autres humains dont on a besoin. Nous priver des autres (décivilisation nous divise pour régner) est criminel, car le besoin des autres est vital pour TOUT humain.
Pouah! Vomissons les inhumains et leur inhumanité.
11h27 —
On a chacun sa voie à suivre, ensemble dans le même sens, l’humain.
Chacun est indispensable, chacun est unique.
Chacun est humain, unique, utile, nécessaire /indispensable aux 8 milliards d’humains.
Et le bonheur de chacun des 8 milliards est le bonheur des 8 milliards. Et réciproquement.
Aimons-nous les uns les autres.
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« Jésus », prononcé à l’espagnole, avec un « rrr » de la gorge [exemple : mojito (moRRRito), Juan (RRRouane)], donne « Rhésus ». Bof, car plutôt rhézousse. Donc bof. N’en attrapez pas un coup de sang, même si ça vole pas haut.
13h09 —
On n’est pas seul humain.
On n’est pas humain tout seul.
On est humain les uns avec les autres.
C’est parce que les autres nous reconnaissent humain qu’ils sont humains.
C’est parce qu’Az m’a reconnu et me reconnaît humain que je suis humain. Et qu’elle est humaine.
Mais comment a-t-elle fait pour commencer cette spirale positive (c’est une valse) ?
Mystère de l’humain les uns avec les autres. Mystère de l’humain.
Il n’y a pas de mystère de l’inhumain. Il n’existe malheureusement qu’une saloperie de l’inhumain : décivilisation de domination.
Sûr que pour enclencher le mouvement d’une spirale positive, on ne peut pas rester en décivilisation de domination, qui est l’expression de la panique des inhumains parce qu’ils ne font pas confiance aux autres humains et seulement à eux, leur Moi-moi-moi, non fiable puisque totalement paniqué de (devoir) perdre sa « maîtrise » /traîtrise. TOUT FAUX. TOUT MORT. FIN de l’humanité. « C’était pourtant bien… et la vie sûrement… plus d’un millions d’années… et toujours en été… » (chanson « Le Sud » de Nino Ferrer).
Ben, non, on va faire mentir la chanson et vivre à 8 milliards d’humains. Et on va faire mentir la mort de Nino Ferrer, suicidé par décivilisation de domination. Merci Nino. Tu as transmis ton humanité et ton humour. Et ces cons de dominants qui disent que tu t’es suicidé parce qu’on te prenait pour un rigolo alors que tu voulais être sérieux. Pas crédible. C’est du langage de dominant pur jus.
14h28 —
Az remet l’émission de France Inter de ce matin avec Raphaël Glucksmann???.
Quel élan ! Quel rassembleur ! Quel orientateur des énergies /des humanités ! Quel fédérateur !
Il dit à chacun que les autres sont là aussi et ça fait le plus grand bien pour oser s’opposer à décivilisation de domination.
Il manque juste ma brique, celle qui casse décivilisation de domination. Quand l’un peut mettre sa brique, ça permet à d’autres de poser la leur et ainsi de suite. C’est comme ça qu’on va construire ensemble la civilisation de relation humaine interactive bienveillante. Indéfiniment. Pendant des millions d’années.
La politique, c’est comme il le dit. C’est TOUT le monde, pas seulement quelques-uns.
Raphaël Glucksmann a la parole que je n’ai pas, comme François Ruffin les films (« Merci Patron ! » et sur les Gilets Jaunes)…
Là où ma brique est utile, c’est de rendre inutile « on ne peut pas changer la société sans prendre le pouvoir » et TOUTE violence, puisque je supprime le pouvoir d’UN SEUL sur TOUS les autres. Ou de le transformer en « on ne peut pas changer la société sans reprendre chacun notre pouvoir et de supprimer TOUT pouvoir sur soi de TOUT autre que soi ».
« Imposez vos idées! ».
« Plus la gauche est faible, plus elle est divisée ». C’est l’œuvre de décivilisation de domination de diviser pour régner.
Humanisé, je décortique décivilisation de domination pour nous convaincre que décivilisation de domination, ce n’est que de la merde.
C’est parce qu’Az est humaine avec moi qu’elle me fait humain.
C’est parce je suis humain que je peux apporter ma brique unique à l’humanité.
C’est en cassant décivilisation de domination qui casse et veut casser l’humain /les 8 milliards d’humains de la terre que chacun des 8 milliards pourra apporter sa brique unique à l’humanité. Et boule de neige.
Aidons-nous les uns les autres.
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Scan des photos de famille de maman. Quelles belles personnes. On n’en retient peut-être qu’un moment moins favorable où la personne a été usée par décivilisation de domination. Ne retenir que les meilleurs moments et les revivre avec les autres pour qu’eux fassent de même. Vivons ensemble les uns avec les autres, c’est ça la vie.
Nostalgie = cafard = perdu l’humain vécu avant. Ne pas se laisser avoir. L’humain qu’on a reçu et qui nous a fait du bien, le transmettre aux autres. C’est ça l’humain. C’est pas un devoir, c’est un nouveau vécu où l’on est totalement et qui fait du bien à tous.
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En remontant de chez Léon, après avoir lu plus d’un album d’Ariol et en terminant sur une bonne blague (l’instituteur reconnaît d’un élève, toux deux des chiens, qu’il a lancé le cahier de vie de classe par la fenêtre mais s’est précipité pour le rapporter) : il n’y a plus de barrière de génération avec les gens dans la rue. C’est l’intérêt des collègues qui ont l’âge de nos enfants. Comme j’y suis bien. Et c’est la relation facile, humaine, normale, détendue, agréable…
Cette découverte, ce doit être parce que je n’ai pas eu d’enfance diraient certains. Mais si.
Et si je n’ai pas eu de crise d’adolescence, comme Az, c’est parce qu’on était « plus mûr » comme diraient certains. C’est plutôt parce que nos pères n’étaient pas dominant à tuer, comme dirait Sigmund Freud. C’est pour ça que je fais ma crise d’adolescence maintenant, avec décivilisation de domination à tuer. Comme la domination de mon grand-père Raymond par solidarité avec papa (j’ai pris son dos voûté) et maman que mon grand-père Raymond a fait pleurer.
Faisons notre crise d’adolescence maintenant, à 8 milliards d’humains, tuons décivilisation de domination.